1996 Ferrari F50
SUCCESSION MAITRE ETIENNE LEANDRI
Titre de circulation monégasque
Châssis n° 105265
- Première main, 1 318 km d'origine
- Seulement 349 exemplaires produits
- État proche du neuf, carnets, flight case
- Une "Formule 1 pour la route"
- La Supercar Ferrari avec un toit amovible
Livrée neuve le 24 juin 1996 par les Établissements Charles Pozzi, de Levallois, à notre collectionneur monégasque, cette Ferrari F50 n'affiche aujourd'hui que 1 318 km et son état n'appelle aucun reproche. On ne note quasiment aucune trace d'usure et la peinture extérieure présente le brillant du neuf. Dans l'habitacle à l'aménagement très sportif, les sièges bicolores noir et rouge sont eux aussi très bien préservés et les commandes ne montrent guère de traces d'utilisation. Mis à part son original tableau de bord, cette voiture appartient encore à l'ère pré-électronique, comme en témoigne son volant classique et son levier de vitesses traditionnel dans la grille en acier propre à la marque de Maranello. Elle est accompagnée de sa "flight case" d'origine, qui contient les éléments correspondant au système de toit amovible et de capote en toile. Sa trousse à outils est à sa place sous le capot, de même que son gonfleur d'origine, et les différents carnets livrés avec la voiture sont regroupés dans leur belle pochette en cuir beige.
Dévoilée au Salon de Genève de 1995, la F50 tenait son nom du 50e anniversaire de la marque (fêté en 1997, année de production de la dernière F50) et se voulait une véritable "Formule 1 pour la route", selon les affirmations du constructeur. Elle a donc été conçue de façon extrêmement radicale, sans compromis ni assistances. Basée sur une structure en carbone extrêmement rigide, elle recevait des suspensions proches de celles des monoplaces de F1 et surtout son moteur en était directement issu. Contrairement à la 288 GTO et à la F40 qui faisaient appel au turbocompresseur pour leur moteur V8, la F50 constituait pour Ferrari une sorte de retour aux sources avec un moteur V12 atmosphérique de 4,7 litres, qui développait 520 ch à 8 500 tr/mn. Ce moteur avait la particularité d'être porteur, comme sur une F1, et il affichait une technique de pointe, avec une distribution par cinq soupapes par cylindre et une lubrification par carter sec. La carrosserie signée Pininfarina privilégiait l'aérodynamique sur l'esthétique et se caractérisait par un aileron arrière spectaculaire dans le prolongement des ailes arrière. Forte de cette technologie très avancée, la F50 atteignait 325 km/h en pointe et surtout manifestait ses qualités dynamiques en améliorant de 4 secondes le temps au tour de la F40 sur le circuit de Fiorano.
Sa personnalité radicale n'empêchait pas un minimum de confort et l'équipement incluait une climatisation et des sièges très soignés. Pour ceux qui souhaitaient profiter du moindre rayon de soleil, le toit était amovible.
Enfin, il est important de noter que la F50 fait partie des Ferrari de route les plus rares car sa production s'est limitée à 349 exemplaires, un de moins que ce que l'entreprise pensait pouvoir vendre, comme elle l'avait annoncé (à comparer aux quelques 1 337 F40 produites). Il n'est donc guère fréquent qu'un tel modèle se présente sur le marché, surtout s'agissant d'un exemplaire aussi proche du neuf que celui que nous proposons ici. Les collectionneurs ne s'y tromperont pas.
Incidence sur la TVA : Le véhicule ayant moins de 6 000 km d'utilisation, certains pays de l'Union Européenne peuvent considérer qu'il s'agit d'un véhicule «comme neuf». Nous vous remercions de prendre contact avec
votre administration fiscale pour avoir confirmation du statut avant d'effectuer votre achat.
Monegasque title
Chassis no. 105265
- One owner, 1318km from new
- Only 349 cars built
- Near-new condition, books and flight case
- A 'Formula 1 car for the road'
- Ferrari's supercar with a removable roof
Delivered new on 24 June 1996 by Charles Pozzi in Levallois to our client in Monaco, this Ferrari F50 has today covered only 1318km and is in faultless condition. Hardly any traces of wear can be seen and its paintwork shines like new. In the very sporty interior, the two-tone black and red seats are also very well preserved and the controls show scarcely any signs of use. Apart from its novel dashboard, the F50 belongs to the pre-electronic era, as can be seen from its traditional steering wheel and metal-gated gear lever characteristic of the cars from Maranello. It comes with its original 'flight case' containing the parts for the removable hardtop and fabric soft top. Its tool kit is in its proper place under the bonnet, together with the original compressor. The various books and manuals supplied with the car are stowed in their handsome beige leather wallet.
Unveiled at the Geneva Motor Show in 1995, the F50 took its name from the marque's 50th anniversary (which it celebrated in 1997, when the last F50 was built) and was intended to be a true 'Formula 1 car for the road', according to Ferrari. It was therefore extremely radical in its conception, with no compromises or driver aids. Built on a highly rigid carbon-fibre structure, its suspension was close to that used on Formula 1 single-seaters, while its engine was developed directly from them. Unlike the 288 GTO and the F40 which used turbochargers for their V8 engines, the F50 marked something of a return to its roots for Ferrari with its 4.7-litre naturally-aspirated V12, which developed 520bhp at 8500rpm. The engine was notable for being a stress-bearing structural element, as on F1 cars, and employed cutting-edge technologies, with five valves per cylinder and dry-sump lubrication. The bodywork by Pininfarina favoured aerodynamics over aesthetics and was characterised by its spectacular rear spoiler, which flowed up from the rear wings. Thanks to its highly advanced technology, the F50 reached a top speed of 325kph and, above all, demonstrated its dynamic prowess by lapping the track at Fiorano four seconds faster than the F40. Despite its radical character, it offered a minimum level of comfort and was equipped with air-conditioning and elaborately designed seats. For those who wanted to make the most of the sun, the roof was removable.
Finally, it should be noted that the F50 is one of the rarest roadgoing Ferraris, as production was limited to just 349 cars, one fewer than the total the company had announced it thought it could sell (compared with some 1337 F40s built). It is therefore far from common for a car like this to come onto the market, especially in condition as near to new as the model presented here. Collectors will recognise it for what it is.
Impact on VAT: As the vehicle has been driven less than 6,000 kilometers, it can be considered "as new" for VAT purposes in certain European countries. Please
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Photos © Kevin Van Campenhout
Estimation 2 700 000 - 3 500 000 €
Sold 4,161,600 €
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